Des alternatives efficaces aux appâts actuels contenant plus de 3 % de métaldéhyde, plus souples d’emploi, non classées, sont disponibles pour contrôler les limaces.
En misant sur le biocontrôle, De Sangosse propose des solutions de protection non classées. Le métaldéhyde représentait, en 2019, 85 % du marché des anti-limaces. Aujourd’hui, le phosphate ferrique IPmax, une substance naturelle, occupe de plus en plus de place. Depuis mars 2020, les produits anti-limaces dont la concentration en métaldéhyde est supérieure ou égale à 3 % sont classés cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR2).
Le biocontrôle permet de réduire l’IFT et répond aux attentes sociétales en respectant l’environnement.
À ne pas manquer
Le 17 mars, les sénateurs Henri Cabanel et Françoise Férat ont présenté un rapport « sur les agriculteurs en situation de détresse ». Sur le site internet du Sénat, l’impuissance des …
C’est une bonne nouvelle qui se décline en chiffres et témoigne qu’une tendance de fond est engagée ! Les ventes des substances actives de produits phytosanitaires ont reculé en 2019 en …
La moisson 2021, c’est parti ! Les premières récoltes d’orge d’hiver ont commencé vers la mi-juin, par exemple en Vendée et dans le Sud. Plus au nord du pays, il faudra …