Des alternatives efficaces aux appâts actuels contenant plus de 3 % de métaldéhyde, plus souples d’emploi, non classées, sont disponibles pour contrôler les limaces.
En misant sur le biocontrôle, De Sangosse propose des solutions de protection non classées. Le métaldéhyde représentait, en 2019, 85 % du marché des anti-limaces. Aujourd’hui, le phosphate ferrique IPmax, une substance naturelle, occupe de plus en plus de place. Depuis mars 2020, les produits anti-limaces dont la concentration en métaldéhyde est supérieure ou égale à 3 % sont classés cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR2).
Le biocontrôle permet de réduire l’IFT et répond aux attentes sociétales en respectant l’environnement.
À ne pas manquer
C’est une bonne nouvelle qui se décline en chiffres et témoigne qu’une tendance de fond est engagée ! Les ventes des substances actives de produits phytosanitaires ont reculé en 2019 en …
Quatre cents amendements pour quelques euros de plus ? C’est le nombre d’amendements à discuter sur la loi qui vise à mieux rémunérer les agriculteurs via le rééquilibrage des relations …
L’augmentation des retraites permettant aux exploitants agricoles d’atteindre 85 % du Smic (à carrière complète, soit au moins 150 trimestres cotisés) sera payée à compter du 1er novembre 2021. Les …