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Les itinéraires techniques “Grandes Cultures” adoptent les biosolutions

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Les bio­so­lu­tions ont désor­mais leur place dans les iti­né­raires tech­niques des grandes cultures. Effi­caces et simples d’utilisation, elles per­mettent de com­bi­ner quan­ti­té et qua­li­té des pro­duc­tions. Elles répondent aus­si aux enjeux régle­men­taires, socié­taux et envi­ron­ne­men­taux actuels. Pour­quoi les solu­tions de bio­con­trôle sus­citent de plus en plus d’at­ten­tion de la part des agri­cul­teurs ? C’est la réponse à cette ques­tion que nous abor­de­rons dans cet article 

La vali­da­tion de ces Bio­so­lu­tions par les ins­ti­tuts tech­niques et les dis­tri­bu­teurs, grâce à de mul­tiples essais, ren­force la per­ti­nence de les uti­li­ser pour assu­rer notam­ment la pro­tec­tion des plantes.

Les agriculteurs ne se trompent pas sur ce point

Les bio­so­lu­tions ont voca­tion à pré­ser­ver l’en­vi­ron­ne­ment en rédui­sant l’u­ti­li­sa­tion des pro­duits chi­miques tra­di­tion­nels, en main­te­nant l’efficacité des trai­te­ments appli­qués et en dimi­nuant les Indices de Fré­quence de Trai­te­ment (IFT). En inté­grant par exemple les bio­so­lu­tions de la gamme DE SANGOSSE dans un pro­gramme de pro­tec­tion, il est pos­sible de réduire l’IFT de 2 à 3 pour le blé, l’orge et les pommes de terre ; de 2 pour le maïs ; de 1,5 pour le col­za et de 1 à 1,3 pour la betterave.

Les clés du succès :  combiner les solutions et adopter les bonnes pratiques

La clé du suc­cès réside dans la com­bi­nai­son judi­cieuse des bio­so­lu­tions  (bio­con­trôle, bio­sti­mu­lants, adju­vants) avec des pro­duits phy­tos bio ou conven­tion­nels et par la mise en place de pra­tiques agro­no­miques comme l’al­ter­nance des cultures, l’al­lon­ge­ment des rota­tions pour réduire la pres­sion des rava­geurs, ain­si que l’u­ti­li­sa­tion d’OAD pour mieux pré­ve­nir la pres­sion des bioagresseurs.

Des résultats très performants contre les limaces et la septoriose du blé 

En blé par exemple, les anti-limaces à base d’IPMax rem­placent des spé­cia­li­tés à base de métal­dé­hyde. En com­bi­nant les deux matières actives – bio­con­trôle et conven­tion­nel -, il est pos­sible de réduire de 4 à 7 fois la quan­ti­té de métal­dé­hyde uti­li­sée. D’autant plus que le phos­phate fer­rique (IPMax) ne fait l’objet d’aucune contrainte de sto­ckage, contrai­re­ment à un anti-limace tra­di­tion­nel. Pour la maî­trise de la sep­to­riose du blé, la réfé­rence bio­so­lu­tion du mar­ché per­met de gagner des quin­taux. C’est le seul fon­gi­cide à la fois sys­té­mique et mul­ti­site qui pré­sente un effet béné­fique de sti­mu­la­tion des défenses des plantes. Ses uti­li­sa­teurs l’ont adop­té pour leurs pro­grammes anti-septoriose. 

Diversifier les modes d’action

Avec l’utilisation de solu­tions de Bio­con­trôle on évite l’é­mer­gence de résis­tances aux pro­duits phy­to­sa­ni­taires conven­tion­nels. De nom­breux cahiers des charges encou­ragent l’u­ti­li­sa­tion de bio­so­lu­tions dans leurs iti­né­raires tech­niques afin de rem­pla­cer les pro­duits de pro­tec­tion des cultures traditionnels.

Autant de motifs convain­cants pour s’approprier ces nou­velles technologies.

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